Le colectivo

PAPAPA?

 

L'histoire du Colectivopapapa.

Parce qu’il est difficile de mener à bien des projets artistiques de nos jours, le Colectivopapapa est une association loi 1901 née sous l'impulsion d’une quinzaine de percussionnistes - amateurs et professionnels - ayant l'envie de faire avancer des projets artistiques et de produire des spectacles....

 

À l'origine : un ballet de danse contemporaine...

Grâce à la volonté de mettre en scène « Manakùna », un ballet de danse contemporaine dont la musique a été écrite par Pascal Parent (photo ci-contre), des artistes se sont rassemblés et ont mis en place cette structure afin de trouver des financements et de réaliser cette création.

Le Colectivopapapa propose également plusieurs projets autour de la musique afro-cubaine, d’inspiration africaine et contemporaine.

Les différents projets générés par l’association ont alors pour but de s’alimenter les uns les autres (selon les besoins de chacun des projets).

 

La solidarité fait vivre...

Le Colectivopapapa vit grâce aux dons de particuliers et aux versements mensuels de ses membres. Cet argent permet de faire vivre et de mettre en place les projets. Ce collectif de percussionnistes fonctionne ainsi dans un système de solidarité où chacun aide à la mise en oeuvre des projets et à la vie de l’association.

 

Pourquoi ce nom « Colectivopapapa » ?

En Amérique du sud, un « colectivo » est un bus où la musique bat son plein. « Papapa » pour les villes de Paris, Pau et Palau del Vidre où vivent les artistes participant aux projets de cette association. Notre bus transporte donc des artistes venus de plusieurs endroits en France et est conduit par Pascal Parent qui s’occupe de la direction artistique et des arrangements musicaux des projets.

 

L’arbre du Colectivopapapa.

C’est l’arbre musical qui fait l’objet de toutes nos attentions et qui, avec ses racines, puise dans la tradition ; ses branches sont autant de projets que l’association sera susceptible de proposer.

Igi kan wa laarin ogba…

Cette phrase en yoruba – une des langues des esclaves venus d’Afrique et qui se perpétue dans les chants traditionnels cubains – signifie « l’arbre est au milieu de la cour ». Cette phrase se trouve sous le logo de l’association. Tous les membres du Colectivo se mettent ainsi au service de la musique : l’arbre est au centre et les rassemble.

 

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